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« Jon… » déclare la voix douce de Lyanna, plus un gémissement silencieux qu’une réelle phrase « Nous ne pouvons pas » elle dit, mâchant ses lèvres pour retenir un gémissement plus fort.
« Tu penses? » rétorque doucement Jon avec une fausse question, un rire sur ses lèvres « Alors explique moi ce qu’était ces gestes, ce comportement que tu as eu tout au long de la journée avec moi, chère mère? » il demande.
Et oh , l’entendre l’appeler mère maintenant et en sachant ce qu’ils sont entrain de faire devrait être quelque chose qui la dégoûte, qui appuierait sur les boutons de son cerveau et lui crierait la raison d’arrêter leurs actions.
Normalement, du moins.
Ce n’est pas ce qui arrive puisque Lyanna sent l’humidité entre ses jambes devenir encore plus importante, qui plus est avec les mouvements de Jon si précis et doux contre son cul qui ne font qu’accélérer l’excitation claire qui monte en elle.
« Jon… » respire t’elle un autre gémissement.
« Tout ces regards que tu m’envoie depuis ce matin, ces touches que tu me fais, ce décolleté que tu me montres si facilement, comme si il n’y avait pas un public autour de nous » énumère t’il avec un sourire « Tu penses que je ne les aient pas vus, toute ces choses? »
« Mon fils… » encore une fois, elle devrait se sentir dégoûtée de ce qu’il se passe entre eux.
Elle ne le fait pas.
Une Lyanna Stark plus jeune l’aurait pensée. Mais cette Lyanna naïve avait grandie et elle était une Targaryen en plus maintenant. Par le mariage, et non par le sang, c’était sûr. Mais elle restait une Targaryen aujourd’hui, et cette frontière entre l’amour et l’inceste avait disparu chez elle avec les années.
« Je t’ai vu » dit-il sans l’écouter « Ton désir de moi »
Elle n’a pas la force de contredire ses paroles, alors seul un gémissement sort de ses lèvres pour toute réponse vocale qu’elle ne peut émettre en ce moment.
« Dis le moi mère » son fils, son beau et élégant fils - son Daeron - lui dit avec douceur et tendresse, murmurant contre son oreille alors qu’elle sent sa bite tiret et se frotter contre le tissu de sa robe au niveau de son cul « Dis moi ce que tu veux » il dit.
« Putain… Daeron » elle gémit en retour, presque incapable de former ses propres mots.
Le plaisir qu’elle ressent est si bon qu’elle se fiche royalement de savoir si, aux yeux du royaume et des gens qui y vivent, ce qu’ils font en ce moment est moral ou juste.
Elle s’en fiche. Tout simplement.
« Dis le moi » répète son fils, sa voix plus autoritaire, plus royale et qui ne lui donne pas le choix de répondre en retour, malgré ses gémissements et son plaisir incessant face à ses touches sur son corps.
« Toi » laisse t’elle sortir finalement, sa voix douce se mélangeant avec la sensualité qu’elle ressent, le plaisir qui inonde toute ses veines toute entières « Je te veux toi! » elle dit, avec plus de force, d’assurance cette fois-ci, plongeant son cul vers l’arrière, contre l’entre jambe de son Daeron.
Sentir l’excitation de son fils, la taille de sa bite longue et s’agrandissant à mesure que leurs mouvements devenaient plus intenses, que cette excitation, celle de Daeron, lui était exclusivement réservée et qu’elle n’était alors présente que grâce à elle était quelque chose d’encore plus enivrant pour elle.
Daeron Targaryen avait toujours été un beau garçon, même quand il était encore trop jeune pour ses fantasmes.
Il n’avait certes pas hérité de la célèbre beauté valyrienne et avait plutôt les traits physiques typiquement de celles des Premiers Hommes, mais il était toujours beau ; chevaleresque et ses yeux gris étaient envoûtants.
Il avait attiré l’attention à la cour royale, et Lyanna savait que plusieurs filles et femmes avaient souhaitées entrer dans son lit à tout prix.
Margaery Tyrell, Arianne Martell, Myrcella Hightower, Desmera Redwyne, Barbara Bracken, Cerena Lannister. Même certaines femmes plus âgées comme Lynesse Hightower ou Taena Merryweather - de ce que Lyanna savait - avaient souhaitées coucher son fils pendant des années.
Mais jamais Daeron n’avait rendu la pareille à leurs sentiments. À aucune de ces femmes.
Ce n’était pas pour la déplaire, bien sûr. Lyanna ne pensait pas qu’aucune de ces femmes ne méritaient jamais son fils comme mari ou même comme simple compagnon de lit, mais elle avait trouvée étrange qu’il ne soit pas attiré par elles. Certaines de ces femmes étaient considérées à juste titre - comme elle l’avait elle-même été à son époque - comme les plus belles femmes de leur temps.
Son Daeron s’en était toujours fichu, de leur beauté ou de leur intérêt pour lui. Il n’était pas comme Aegon, comme son oncle Viserys ou comme Rhaegar à apprécié le regard des femmes dirigés vers lui. Il avait toujours été le plus discret, entre les murs du Donjon Rouge.
Et pour sa plus grande fierté, Daeron n’avait jamais visité le quartier des putes de Port Real, et bien que Lyanna sache par sa propre expérience que Chataya et sa fille étaient de bonnes et talentueuses femmes, elle ne voulait pas que son fils devienne le genre d’homme à passer son temps avec les putes.
Heureusement, il ne l’a jamais fait.
Elle sait exactement le moment où les choses ont commencées à changer entre eux, où leur relation est passée au grade supérieur et les a menés à leur situation actuelle.
Elle était une femme et toute femme avait ses désirs et ses plaisirs. Et Rhaegar n’avait plus été le même homme que quand ils s’étaient rencontrés à Harrenhall. Il n’avait plus le temps pour elle et souvent, elle se retrouvait à partager leur lit conjugal seule, ses doigts et les quelques jouets sexuels tout droit venus d’Essos qu’elle avait réussit à se procurer dans le plus grand des secrets.
Et c’était bien, ce nouveau plaisir qu’elle se découvrait.
Puis était venue les femmes autour d’elle. Lyanna avait commencée à emmener certaines dans son lit. Aucune de sang nobles, bien sûr, elle ne voulait certainement pas créer de scandale pour la couronne. Alors elle s’était rabattue sur les putes ; Chataya et sa fille Alayaya ou encore Ros du Nord.
Et ce nouveau plaisir - comme avec les jouets - avait été bon pour elle.
Mais rien ne remplacera jamais la présence d’un homme avec elle.
Puis c’est Daeron lui-même qui est arrivé.
Malgré toute ses croyances, elle s’était retrouvée malgré elle à remarquer son fils d’une façon qu’elle n’aurait jamais penser le faire avant.
Mais ce n’était pas complément de sa faute non plus. Daeron était beau, musclé et fort, et surtout trop honorable pour son propre bien, et c’était un honneur attirant pour elle.
Elle n’était jamais allée jusqu’à se toucher en pensant à son fils. Mais l’humidité avait déjà atteint sa chatte plus d’une fois pendant qu’elle regardait Daeron au loin ; soit quand il s’entraînait à l’épée ou même simplement quand il se tenait proche d’elle.
Mais à la fin, c’est Daeron qui a fait le premier pas entre eux.
Elle se souvient encore de cette fête, une pour fêter le jour du nom d’Aegon. Et son idiot de Rhaegar qui l’avait laissé de nouveau insatisfaite. Elle avait essayée, pourtant, d’avoir des relations sexuelles avec lui ce soir là. Elle s’était même mis à nue devant lui, sa chatte mouillée de plaisir et d’un désir enivrant après des mois sans avoir reçu une bite en elle. Et son corps était encore l’un des plus beau des Sept Couronnes, un dont elle était très fière d’avoir.
Rhaegar ne l’a même pas regardé plus de quelques secondes avant de lui répondre qu’il avait à faire dans la bibliothèque, puis l’instant suivant, son mari avait quitté la pièce, la laissant seule.
Elle avait ressentit de la rage pour Rhaegar ce soir là. Puis elle s’était rhabillée et avait déambuler à travers les couloirs du Donjon Rouge, faim de sexe et c’est la qu’elle était tombée sur Daeron, assis dans l’armurerie et revenant tout juste de son entraînement.
Elle était à moitié dénudée ; ses seins se déversant presque de son décolleté et sa robe mal serrée qui laissait facilement qui que ce soit voir ses formes féminines. Daeron lui-même était à moitié nu ; seul un pantalon le couvrait et son torse - malgré la tombée de la nuit et le vent frais autour d’eux - était transpirant.
Elle ne sait pas ce qu’ils se sont dit ce soir là, mais ce qu’elle sait, c’est que la seconde suivante, les lèvres de Daeron étaient sur les siennes, et les deux avaient baisés dans l’armurerie.
Le lendemain?
Rien. Ils ne se sont pas adressés la parole de la journée. Pas un regard ou un contact entre eux sans qu’ils se mettent chacun à rougir comme des jeunes enfants. Et ce spectacle avait duré de cette façon pendant encore deux lunes à s’ignorer.
Puis une nouvelle fois, c’est Daeron qui avait réglé les choses.
« Je veux être avec toi » avait-il dit, sa voix confiante malgré la légère hésitation.
« Moi aussi » elle lui avait dit en retour « Mais c’est faux » elle avait ajoutée la seconde suivante.
« Peut-être » il avait répondu « Mais si c’est faux, pourquoi est-ce aussi bon? »
Et elle n’avait pas su quoi répondre par la suite, et les deux avaient de nouveau couchés ensemble. Bien que cette fois-ci, ils l’avaient faits dans les appartements personnels de Daeron, sur un vrai lit et le plaisir partagé entre eux avait été encore meilleur.
Le lendemain matin, ils se sont réveillés ensemble, entremêlés et Daeron l’avait accueillit avec un baiser chaste sur ses lèvres. Et cette fois-ci, Lyanna ne s’était pas enfuit, ou avait rougit comme une fillette et était plutôt restée avec Daeron, pressant son corps plus proche encore du sien et ses mains étaient descendus sous les couettes afin de jouer avec sa bite dure du matin.
« Tu es belle » avait respiré Daeron, et la sincérité dans sa voix avait fait battre son cœur, et l’avait complément mouillée aussi.
Et ils avaient ensuite continués leur rencontre pendant les semaines et mois suivants.
Toujours en secret, bien sûr, puisqu’elle était toujours la femme de Rhaegar, malgré l’incapacité de ce dernier à la coucher comme elle le souhaitait.
Elle et Daeron avaient baisés à peu près partout autour du Donjon Rouge, mais la plupart du temps, ils se prélassaient et passaient tout leur temps dans les chambres personnelles de Lyanna. Personne ne viendrait les déranger là-bas sans avoir eu au préalable l’accord tacite de Lyanna. Et mis à part Rhaegar qui l’avait - en tant que son mari - seuls Ser Arthur Dayne et une femme de la maison Wull du Nord qui avait été envoyée par son frère dans le Sud pour sa protection pouvaient entrer ici. Et elle savait déjà que Serena Wull garderait ce secret à tout prix, et Arthur n’oserait jamais entrer dans ses chambres sans frapper avant.
Alors ils étaient seuls et pouvaient profiter du corps de l’autre quand ils le souhaitaient.
Et là où Lyanna était souvent laissée insatisfaite par l’inaction de Rhaegar il y a quelques mois, maintenant, les choses avaient totalement changées et heureusement, Daeron était un bien meilleur homme que Rhaegar ne l’avait jamais été avant. Il savait comment et quand lui faire plaisir et honnêtement, tellement les deux avaient baisés ensemble, sa chambre ressemblait de plus en plus à un bordel qu’à un réel lieu d’habitation ; tant ils se baladaient souvent nues et que l’odeur du sexe et de la luxure avaient élues domiciles entre ces murs.
Pourtant, si elle le pouvait et en avait le choix, elle n’échangerait pour rien au monde la vie qu’elle avait en ce moment et la relation qu’elle avait maintenant développée avec son fils.
Elle tenait trop à lui. Et que les nobles aillent tous se faire foutre eux et leurs avis, mais Lyanna était très clairement amoureuse de son fils.
« Je t’aime, mais pas comme une mère devrait le faire avec son fils. Plus comme une femme devrait aimer un homme » lui avait-elle avouée un soir.
Ils avaient eu une autre de leur soirée où ils avaient baiser pendant des heures et où elle avait atteint un nombre d’orgasme si grand et un qu’elle n’aurait crue possible avant de commencer ses aventures avec Daeron.
« Je ressens la même chose » avait-il chuchoté en retour, son sourire frais et aimant « Je t’aime, maman »
Et pour toute réponse, Daeron s’était ensuite mis à genou et lui avait donnée son célèbre et intense baiser du seigneur, mangeant sa chatte pendant l’heure suivante sans jamais s’arrêter et lui donnant tellement de plaisir qu’elle aurait crue à la fin du monde.
Et maintenant ils se tenaient ici, Daeron derrière elle avec sa bite pressée contre le tissu de sa robe et frottant contre la peau de son cul.
« Tu le veux tellement, n’est-ce pas, maman? » il demande avec rhétorique, et elle expire un autre gémissement en retour, se corps se serrant encore un peu plus contre son entre jambe.
Elle avait besoin de lui, maintenant et sans attendre.
Mais avant que l’un d’eux ne puissent faire un mouvement pour libérer leur plaisir commun, un doux bruit se fit entendre contre la porte de ses chambres, rapidement suivis par une voix calme.
« Lyanna? » demande la voix de Rhaegar de l’autre côté de la porte « Est-ce que tu es là »
Elle sent son corps tout entier se crisper au son de la voix de son mari, et elle sent Daeron faire de même ; la main qui jouait ces dernières minutes avec ses seins tombant de sa poitrine avec surprise.
« Lyanna? » répète Rhaegar, avec une certaine inquiétude « Je vais entrer… » dit-il, mais elle est plus rapide et atteint la porte avant qu’il ne l’ouvre et ne tombe sur elle et leur fils dans cet état.
« Rhaegar… » fait-elle remarquer doucement « Tu es la » c’est la pire chose à dire, mais Lyanna est trop surprise de la visite de son mari à cette heure si avancée pour dire autre chose.
Il ne l’avait plus visité en ces heures depuis presque sept années maintenant, et elle ne s’était pas attendue à ce que ce soir soit différent.
« Oui, je voulais parler avec toi » il déclare, essayant d’entrer dans la pièce, mais Lyanna bloque son cadre avec le haut de son corps, qu’elle avait rattachée avec vitesse et ses seins ne débordaient ainsi plus de son décolleté.
« Non! Tu ne peux pas entrer pour le moment, je suis occupée » elle dit, légèrement paniquée.
Sa panique augmente cependant quand elle sent les mains de Daeron revenir sur son cul, ses doigts atteignant l’entrée de sa chatte à travers sa robe et commençant leur jeux contre sa fente encore mouillée de son excitation précédente, comme si Rhaegar n’était pas à l’extérieur de la porte sur le point de les découvrir.
Elle ne peut cependant pas se retourner et dire à Daeron d’arrêter ses mouvements sans que Rhaegar ne comprenne ce qu’il se passait entre eux, alors elle retient de toute ses forces un profond gémissement en réponse au toucher de Daeron et parvient malgré son plaisir à mettre un regard innocent sur son visage.
Heureusement, Rhaegar est trop idiot pour remarquer sa tension actuelle.
« Je comprends » il dit, évasif et elle n’est même pas sûre qu’il le fasse vraiment, mais elle n’est pas sur le point d’insister sur cela « Je voulais juste m’excuser »
Les mots de son mari atteignent à peine son esprit tant elle doit se concentrer pour retenir ses gémissements et de laisser simplement son plaisir devenir vocal.
Daeron est passé à l’étape supérieur et après avoir enlevé ses doigts de sa fente, il avait baissé son pantalon et soulever sa robe pour laisser l’arrière de son cul nu, leurs peaux blanches se rencontrant alors que la bite dure de Daeron venait contre les plis de ses lèvres inférieures. C’était juste trop bon et c’est bien toute sa force d’esprit qui l’empêchât de jouir sur place, la bite de son fils entrant en elle lui donnant bien trop de plaisir après une journée complète sans qu’ils n’aient de relations sexuelles ensemble.
C’était injuste de la part de son fils ; de la baiser de cette façon alors qu’elle ne pouvait pas en profiter pleinement comme lui le pouvait, alors qu’il commençait à palpiter sa bite avec des vas et viens doux et lent dans et hors de sa chatte, l’humidité de celle-ci laissant quelques petits bruits inaudibles après le mouvement répétitif.
« Hein hein » c’est bien la seule réponse assez cohérente qu’elle peut former en réponse à Rhaegar, pendant qu’elle laisse inconsciemment son corps se frotter et se serrer davantage contre la bite de son fils.
Elle pouvait facilement sentir sa chatte se serrer contre la bite de Daeron et en réponse à ses mouvements.
« Je me rend compte de mon erreur de te laisser seule pendant toute ces années et de ne pas m’occuper de toi comme un mari devrait le faire avec sa femme… » explique Rhaegar, bien que Lyanna perde l’écoute après quelques secondes, le plaisir en elle devenant bien trop important et encombrant pour que ses sens et son esprit se concentrent sur ce que son mari avait à dire.
Se cambrant un peu plus vers l’arrière, Lyanna manqua de peu de trébuchée en avant, mais elle parvint à se retenir contre le cadre de la porte et heureusement, Rhaegar n’avait rien remarqué à ses acrobaties, toujours trop concentré dans son monologue.
Quand elle fut sûre de tenir sa position stable, elle se laissa reculer de quelques millimètres vers l’arrière pour permettre à Daeron d’enfoncer encore plus sa bite dans les profondeurs de sa chatte, et le plaisir qui en ressortit de cette action était intense et la chose la plus incroyable.
Se faire baiser par son fils par l’arrière et tout cela juste devant son mari idiot qui ne se doutait de rien était la chose la plus excitante qu’elle avait eu le plaisir de faire depuis un moment.
C’était presque encore mieux que de baiser avec son fils quand les deux étaient sur le Trône de Fer ; Daeron assis sur la chaise faite de métal et d’épée et elle entre ses jambes, rebondissant avec une faim débordante sur sa bite.
Presque bien sûr, parce que baiser à l’endroit où une succession de roi Targaryen s’étaient assis pendant des trois siècles entiers était quand même un souvenir inoubliable pour elle.
« -et c’est pour cela que je voulais sincèrement m’excuser auprès de toi pour ces années de négligence » terminé Rhaegar, l’idiot toujours inconscient du spectacle qui se produisait sous ses yeux entre sa femme et son fils.
« Oui, oui, oui je comprends… » elle répond, plus avec des gémissements qu’avec des vraies paroles, mais encore une fois, son mari ne le remarque pas.
« Oh excuse moi, tu es occupée? » il demande à la place, l’air inquiet et essayant de se pencher en avant pour regarder à travers le cadre de la porte, mais Lyanna s’interpose immédiatement pour lui bloquer la vue.
« Oui » parvient t’elle à expirer malgré son gémissement « Tu sais… plaisirs féminins » elle dit, et Lyanna ressent l’envie de rire en voyant son regard surpris et offusqué, presque dégouté.
Si il semble si écœuré à la simple pensée d’elle se touchant sa chatte avec ses doigts, alors qu’est-ce qu’il pourrait penser de ses activités actuelles.
« Je vais te laisser alors » il déclare ensuite, un froncement de sourcil clair sur son visage alors que Daeron exprimait sa joie suite à cette annonce en lui claquant le cul d’une main ferme, le bruit fort résonnant et un qui laisserait très certainement une marque rouge sur sa peau plus tard.
Soit Rhaegar n’a pas entendu le bruit de la claque, soit l’idiot préfère l’ignorer en pensant que l’action était sienne, mais il préfère hocher la tête tranquillement avant de faire demi tour et de passer son chemin loin de ses chambres.
Quand elle est sûre qu’il n’est plus là ou capable d’entendre les sons provenant de sa chambre, elle recule et retire sa chatte de la bite de son fils avec un petit blop , se tournant vers lui avec un regard scandalisée. Ou du moins, c’est ce qu’elle devrait faire, mais derrière sa façade scandalisée, Lyanna a juste envie d’éclater de rire face à la situation. Et Daeron le voit très bien.
« Daeron! » dit-elle de sa voix forte, feintant le scandal avec des gestes de mains « Petit coquin » elle ajoute, plus doucement, avant de faire tomber sa robe vers le sol avec un seul mouvement de sa main, le tissu bleu se déversant vers le sol et la laissant cette fois-ci complément nue devant son fils.
Elle est fière de son corps, et la toujours été. Ses seins pleins étaient envoûtants pour la plupart des hommes - elle avait vu sa juste part de regard dirigée vers elle au fil des années, mais toujours discret afin de ne pas l’insulter - et son cul rond et ferme. Mais sa fierté pour son corps et ses atouts, ses formes, était encore plus importante en ce moment, alors que le regard de Daeron la mangeait littéralement de haut en bas.
« Ce n’est pas de ma faute, maman » il dit en retour « Ton corps est trop beau pour ne pas être touché » déclare t’il, se débarrassant de ses vêtements à son tour « Je jure que ton cul me criait pour être baiser pendant que tu parlais au père »
« Oh? Alors c’est la raison de ton comportement » elle demande avec un rire « Mon cul t’as demandée de me baiser devant ton père » elle dit, passant ses mains le long de son corps et serrant la peau de son cul avec un sourire sensuel dirigé vers son fils « Et que te dit-il de plus, mon cul? »
« En ce moment? » demande Daeron, et Lyanna hoche la tête, se serrant la lèvre d’excitation « En ce moment, il ne demande qu’à être baisé par ma bite. Il a faim de mon sperme et souhaite se faire remplir comme ta chatte l’a été hier soir » il dit, et elle se sent rougir d’anticipation.
Elle n’avait jamais eut la chance de s’ouvrir dans le domaine du sexe. Rhaegar ne l’avait jamais voulu, préférant rester dans la base avec le sexe vaginale. Ses jouets n’avaient pas été d’une grande utilité pour découvrir son corps, et les putes qu’elle avait côtoyée avaient certes toutes été bonnes, mais aucuns de leurs doigts ne pouvaient hélas remplacés la sensation d’une longue bite.
Mais avec Daeron, c’était encore une fois différent. Ils avaient déjà testés de nombreuses choses sur le sexe plus que de se faire baise dans la chatte. Et se faire baiser le cul n’était pas quelque chose qu’elle pensait possible pour elle jusque là. Jusqu’à ce que son fils adoré lui prouve qu’elle avait tort et que c’était en fait possible.
Et elle l’aimait plus que tout ; se faire baiser dans le cul par son fils.
« Je pense qu’il est d’accord avec tes paroles, fils » déclare Lyanna, montrant son cul à Daeron, passant sa main le long de sa peau, à l’endroit où une marque rouge s’était formée là où son fils l’avait claqué quelques minutes plus tôt. Elle copia son mouvement et s’asséna elle-même une claque sur sa fesse droite, le son de la claque résonnant dans la pièce « Il a besoin de toi maintenant »
Daeron n’a pas besoin de plus d’incitation avant qu’il ne s’avance et ne la prenne par le bras, dans un geste sensuel, mais aussi avec une légère force - jamais trop afin de ne pas la blesser, ce n’était pas ce genre d’hommes - et il la tira doucement vers le lit.
Une fois arrivée devant le lit en plume et en tissu tous aussi fins et soyeux les uns que les autres, Lyanna sentit son corps être poussée en avant et elle atterrit dans le lit, allongée et toujours aussi nue, ses jambes et son cul restant néanmoins en l’air.
« Seules les bonnes filles méritent une récompense » déclare Daeron, traçant une ligne fine le long de son cul, précis « As-tu été une bonne fille, maman? » il demande, et il ne faut rien de plus pour que Lyanna laisse sortir un doux gémissement.
« J’ai été une bonne fille » répond t’elle, sa voix plus petite mais toujours débordante de plaisir.
« Alors les bonnes filles méritent les meilleures récompenses »
L’instant suivant, Lyanna sent la tête de bite de Daeron se frotter à nouveau contre son entrée, bien que cette fois-ci, ce ne soit pas sa chatte, mais bel et bien son cul qu’il frotte doucement.
Ils n’avaient pas besoins de préliminaires, et bien que Lyanna se mettrait volontiers à genoux devant son fils et lui sucerait avidement la bite comme si c’était la dernière chose à faire dans ce monde, elle savait déjà qu’elle ne serait pas assez patiente pour le faire et elle souhaitait à la place de faire baiser ici et maintenant, sans attente supplémentaire. De toute façon, Lyanna était déjà assez mouillée et de logique, la bite de Daeron qui avait été dans sa chatte mouillée quelques instants plus tôt l’était aussi, et il n’y avait ainsi aucun besoin de se préparer.
Pourtant, Daeron est lent et doux dans ses mouvements. Elle sait que la dernière chose qu’il veut, c’est lui causer de la douleur, et elle l’en remercie plus que tout. Mais en ce moment, ce n’est pas de la douceur ou de la tendresse qu’elle veut.
« Daeron » appelle t’elle, sa voix tonnante et forte, et bien qu’elle ne peut tourner sa tête vers lui, elle sait qu’elle a toute son attention « Pas d’attente ou de douceur, s’il te plaît, mon amour. Je te veux maintenant » elle dit.
Daeron écoute ses paroles, et l’instant suivant, Lyanna sent la bite de son fils pénétrer son cul.
Bien sûr, il reste doux au début, et Daeron commence leur ébat par des petits mouvements de vas et viens dans son cul, lui permettant de s’habituer à la sensation de sa bite dans son trou, mais surtout à sa taille.
Puis quelques instants plus tard, quand Lyanna sent qu’elle est bonne et prête pour ce qui va suivre, elle tapote légèrement la peau nue de son dos, faisant signe à son fils qu’il pouvait y aller.
Et il le fait. Beaucoup trop bien.
« Ah!… Daeron… » elle gémit fort et à voix haute cette fois-ci, sentant son cul se faire pilonner.
« Maman » clame en retour Daeron et le fait que son fils l’appelle par son titre familiale en un tel moment n’a comme seule réaction de serrer son cul autour de sa bite.
Le membre de Daeron palpite autour de son trou, et ses gémissements deviennent de plus en plus puissants et intenses.
Elle aimerait pouvoir se faire baiser de cette façon pendant des heures durant, tester ses limites et voir jusqu’où son cul pouvait prendre la bite de Daeron. Pourtant, elle va devoir être patiente et attendre cette découverte un autre jour. Elle n’avait pas eu Daeron en elle - sans compter leur petit moment précédent devant la porte - depuis trop longtemps et Lyanna savait qu’elle ne tiendrait pas longtemps avant de jouir sur la bite de son fils.
« Putain, Daeron! Va plus vite, mon fils » elle déclare, tapant contre le lit et venant serrer ses mamelons en réaction à son plaisir.
« Maman j’ai besoin de jouir en toi » déclare Daeron.
« Oui, oui, oui, oui, comme ça Daeron » elle rétorque, son visage rouge de plaisir sexuel, sentant son pic monter « Putain oui, mon amour, j’ai besoin de toi, j’ai besoin de ta bite »
« Ah!.. » s’exclame son fils tout aussi fort.
« J’ai besoin de ta graine en moi aussi » elle répond « Jouis en moi, Daeron! Jouis en moi comme ton père n’a jamais pu le faire! » elle éclate à voix haute, tellement qu’elle espère que Rhaegar s’est vraiment enfuit loin dans le château. Bien qu’il serait bien qu’il assiste à leur ébat, ne serait-ce que pour prendre exemple sur son fils et apprendre à correctement baiser une femme.
« Par les Anciens Dieux maman, je jure que ta chatte et ton cul ont été fait pour me rendre fou plus qu’autre chose » grogne Daeron, attrapant ses jambes afin de pouvoir accélérer son mouvement.
« Plus! » hurle Lyanna, sentant ses murs se resserrer de plus en plus « J’ai besoin… Je veux plus, mon amour » elle dit.
« Maman » la voix de Daeron est nécessitante, et Lyanna sait par expérience qu’il est tout aussi proche qu’elle d’atteindre son pic.
« Tu te sens si bien en moi… » dit-elle.
« Putain… » jure t’il en retour, sa bite s’enfonçant encore plus profondément en elle.
« N’ose par jouir maintenant, Daeron, attend que ta mère vienne aussi » l’avertit t’elle quand elle le sent se crisper de plaisir.
« Tout pour toi, maman »
« Je le veux en moi » elle déclare en conséquence, sa voix autoritairement royale qui ne laisse place à aucune contestation. Mais elle sait que Daeron ne comptait pas en exprimer une de toute façon « Remplie moi de ta graine, Daeron… je veux sentir mon ventre s’inonder sous ton sperme » dit-elle, courbant son cul vers le haut pour faciliter les mouvements de Daeron et le bougeant de haut en bas à chaque pénétration de sa bite en elle.
« Tu le veux tellement, n’est-ce pas… » rétorque son fils, claquant son cul en mouvement, et malgré le léger pic de douleur - rien d’insignifiant, bien sûr - qu’elle ressent, elle continue de balancer son cul rond et plein de du haut vers le bas.
« Oui!… PUTAIN S’IL TE PLAÎT, DAERON » elle crie à plein poumons maintenant, son plaisir l’inondant complément désormais « JE LE VEUX, MERDE!… »
« AH!… » s’exclame Daeron « JE VIENS MAMAN… » il dit.
« PUTAIN! » c’est le dernier cri que laisse sortir Lyanna avant de sentir son orgasme prendre le dessus sur elle et sa raison.
De derrière elle, Daeron se crispe et l’instant suivant, son sperme blanc et flasque - mais qui a un goût superbe quand il vient dans sa gorge - se déverse dans son cul, remplissant son trou et quand il sort finalement sa bite de son entrée quelques secondes plus tard, du liquide blanc en ressort également, débordant de son trou serré et maintenant complément baisé.
Elle sent à peine Daeron s’avance et tomber à côté d’elle dans le lit. Sa peau est luisante et transpiration et son sœur bat comme un cheval de course lancé à pleine vitesse dans un champs ouvert et vide. Sa respiration est laborieuse et rapide et elle sent quelques gouttes du sperme qui déborde de son cul glisser le long de sa peau. Elle ressent une légère douleur dans son cul suite au martèlement de Daeron. Mais c’est une douleur plus qu’agréable pour elle et si c’était possible, elle souhaiterait ressentir ce genre de douleur et de sentiments d’être bien baisé par son fils pour le reste de sa vie.
« Merde… » vint la voix de Daeron contre elle, sa respiration aussi rapide que la sienne et Lyanna laisse un rire sortir de sa gorge en réponse.
« Tu es le meilleur fils du monde » elle dit, avec un sourire « Je t’aime »
« Je t’aime aussi maman » répond Daeron en retour et le simple mot maman sortit de sa bouche après le genre de choses qu’ils venaient de faire ensemble la laisse à nouveau mouillée dans sa chatte.
Elle se relève légèrement, mais trop peu longtemps pour faire autre chose que de se laisser doucement tomber contre son fils, sa tête venant se poser sur sa poitrine forte et musclée et son corps presser contre le sien. Ses seins durs se frottant contre sa peau chaude et mouillée de sa transpiration, dans le même temps que Daeron caressait délicatement ses cheveux.
Pour d’autres, leurs actions étaient peut-être fausses. Mais Lyanna s’en fichait, parce que la bite de son fils était la meilleure chose que les putains de dieux de ce monde avaient créer.
D’ailleurs, en parlant de sa bite, Lyanna ouvrit doucement les yeux, seulement pour que le gris de ses iris ne voient la bite de Daeron se durcir à nouveau, son endurance telle et presque comme si il ne venait pas de venir dur dans son cul.
« Tu me veux tellement, alors? » elle demande avec un sourire, ses doigts venant jouer avec là longueur de son fils.
« Je te veux tout le temps » Daeron répond.
Et c’est la bonne réponse, parce que l’instant suivant, Lyanna se redresse et est de nouveau accroupie devant Daeron, sa bite juste devant son visage, et avec un visage sale et coquin, elle se penche en avant et pose sa langue humide sur la tête de bite de son fils.
Le gémissement qui en ressort de Daeron lui dit qu’ils vont passer un autre moment d’exception ensemble.
Crlss Fri 18 Jul 2025 11:50PM UTC
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